Ils nous avaient prévenus

Les signaux avant-coureurs de la correction.
Lettre n°10 — Mercredi 15 Mars


Cher lecteur,

Les marchés faisaient grise mine ce lundi, l’affaire SVB a ébranlé les bancaires à tel point que les autorités américaines ont été obligées de s’en mêler pour changer la donne, heureusement.

Dans cet épisode, nous allons voir quels signaux avant-coureurs nous avaient été donnés, afin de les comprendre et de pouvoir les utiliser une prochaine fois. Tu y décèleras aussi quelques pointes d’humour pour mieux faire passer la pilule de la baisse récente, qui nous a tous impactés.

J’espère que la prévention faite ces dernières semaines sur les indices ne t’aura pas frustré, force est de constater que je ne voyais plus grand-chose à nous mettre sous la dent donc je me suis obligé, un peu à la manière d’un disque rayé, de répéter inlassablement qu’une respiration nous pendait au nez.

J’ai hâte de te retrouver mardi prochain (21 mars) à 13H pour mon émission en direct, nous y parlons marchés, trendfollowing mais également DCA.

D’ailleurs, à la fin de cette lettre, je reviendrai sur un partenariat d’envergure que je viens de signer. Je suis désormais ambassadeur pour Trade Republic avec plusieurs missions que je te détaillerai.


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Merci à tous !


Les grandes lignes (10 min de lecture)

🐦 Ils nous avaient prévenus
1. Pléthore de signaux baissiers
2. Mon plan pour les semaines à venir

💡 Mon partenaire Trade Republic

Rappel : ajoute-moi à tes contacts pour ne louper aucun mail.


Le meme à faire tourner


🐦 Ils nous avaient prévenus

France 2 nous avait prévenus.

Quand historiquement les médias parlent de la hausse de la bourse, c’est que nous sommes généralement plus proches de la fin que du début (de la hausse). Ici le timing fut parfait, au point haut de l’année, 7400 points.

L’euphorie des particuliers était palpable, un signal en soit.

Nous avons vu ce graphique dans notre émission du mardi, alors que les gérants restaient de côté, sous investis, les flux entrants des particuliers américains sur les marchés actions explosaient les scores en février. Or, tu n’es pas sans savoir que le consensus a rarement raison, surtout quand il s’agit de la masse, des particuliers. Le SP500 et le Nasdaq ont bien reculé par la suite.

Le Nasdaq nous avait prévenus, il montrait la voie.

Le 2 février l’indice américain a atteint une zone de résistance majeure à 12800 points, à la suite d’une envolée spéculative de courte durée, de 18 séances.

Les baissiers ne tarderaient pas à se montrer, ce qu’ils ont fait par la suite, d’abord aux USA, puis en Europe.

Joseph nous avait prévenus.

Joseph Gentile était le directeur financier de Lehman Brothers avant la faillite.

Joseph Gentile était le directeur financier de la Silicon Valley Bank qui a fait faillite la semaine passée.

Les sachants sachaient.

L’immobilier américain nous avait prévenus.

Certains analystes ont pour habitude de dire « Quand l’immobilier va tout va ». Or, l’immobilier américain était en chute libre depuis des mois, symptôme de turbulences en devenir, à cause des nombreuses hausses des taux d’intérêts outre atlantique.

L’analyse technique nous avait prévenus.

Plus haut historique de début 2022 juste sous 7400 points.

Plus haut de 2023 à 7401 points. La résistance a fait son job.

400 points de baisse ont suivi.

Les screeners nous avaient prévenus.

Automatiques ou manuels, mes screeners ne ressortaient plus rien d’attractif depuis deux semaines. Les marchés n’offraient plus rien à se mettre sous la dent, dans ces cas là lever le pied est très souvent la meilleure des solutions.

L’ours du Yellowstone nous avait prévenus (ici c’est de l’humour).

Cette image était une blague mais quand les ours (en bourse l’ours est baissier, il met un coup de patte de haut en bas) sortent du bois, c’est généralement mauvais signe.

La hausse des « daubes » nous avait prévenus.

Début mars, les micro-capitalisations se sont mises à décaler une à une, synonyme de manque d’idées des opérateurs et de fin d’euphorie. Quand ces dossiers décalent, c’est vraiment qu’il n’y a plus grand-chose à faire qu’attendre. (Ici Archos en exemple, qui a perdu 40% par la suite).

Du coup j’invitais d’une part à fuir les microcaps et à remonter les stops sur les bons dossiers, pour prendre quelques bénéfices en cas de changement de rythme, comme sur BNP.

Elle était à 64€, elle cote 56€, soit un recul de 12% en 5 jours.

Mon plan pour les semaines à venir

Nettoyer les portefeuilles, alléger sur certaines lignes qui flanchent, sortir les mauvais élèves et réallouer le cash sur des dossiers haussiers, de qualité.

Car ne nous y trompons pas, l'investisseur long terme est à l'achat, il accumule des actions, des métaux, parfois même des cryptos, et chaque correction est pour lui l'occasion de renforcer ses positions.

Quoi qu'il arrive sur les marchés prenons les choses du bon côté.

Nous pouvons acheter plus bas que la semaine passée, des bons dossiers, des valeurs en trendfollowing sur repli, des indices à des niveaux inférieurs, c’est plutôt une bonne chose au final.


💡 Mon partenaire Trade Republic

Je deviens ambassadeur de la plateforme d’épargne n°1 en Europe.

Trade Republic.

Tout part d’une amitié de longue date avec Matthias Baccino, le country manager.

Je connais Matthias depuis 7 ans maintenant.

En 2017, on animait des émissions chez Binck autour de l’investissement.

Les Binck Trading Day notamment, une 1ère en France, avec 10 heures d’émission en direct sur le site internet de la marque.

Déjà à l’époque, notre objectif était le même :

✅ Démocratiser l’éducation financière.
✅ Faciliter l’accès à l’investissement pour tous.
✅ Communiquer avec les moyens d’aujourd’hui.

Entre temps, nos chemins se sont séparés.

J’ai continué d’utiliser les canaux d’aujourd’hui, en attirant les yeux de plus de 100 000 abonnés sur Twitter.

Matthias a démocratisé l’accès à l’investissement en devenant le country manager de la plus grande plateforme d’épargne en Europe : Trade Republic.

Aujourd’hui, j’ai pu voir leur roadmap…

...et j’ai compris la place que cette plateforme prendra dans l’avenir des investisseurs.

Je l’utilise comme compte titre de court terme car rapide et facile à utiliser.

Ma femme commence son DCA, dans une optique long terme.

Pourquoi Trade Republic plus qu’un autre ?

✔️ 9000 actions et ETFs à travers le monde
✔️ Régulé par la BaFin (AMF Allemande).
✔️ 1€ l’ordre, transparence des frais
✔️ Investissement programmé en 3 clics
✔️ Multi-actifs (ETF, actions, métaux, cryptos)

En un mot : imbattable.

Être ambassadeur d’une marque pour laquelle on est un fidèle client, cela tombe sous le sens.

Ambassadeur, et pas influenceur : nous sommes ici réunis dans le but commun d’éduquer un million de français à l’investissement.

Dans les mois qui viennent, je partagerai mon utilisation de la plateforme, au travers de mes émissions & de ma newsletter.


Quel courtier choisir ? Quel outil utilises-tu au quotidien ?

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Produits à effet de levier présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l’échéance

Nicolas Chéron

Analyste et vulgarisateur boursier


Citi rémunère financièrement Nicolas Cheron pour la mention publicitaire de ses produits, toutefois Citi ne participe à aucun moment à la sélection d’un produit spécifique.

Produits à effet de levier présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l’échéance

Les produits CitiFirst sont des produits complexes qui peuvent être difficiles à comprendre. Ils s’adressent uniquement à des investisseurs avertis, professionnels ou non professionnels, disposant de connaissances suffisantes des spécificités de ces produits.

Les facteurs de risques sont notamment :

  • Risque de perte du capital : Les produits CitiFirst peuvent perdre tout ou partie de leur valeur notamment en raison d'une perte de valeur temps des Warrants, de désactivation des Turbos ou de franchissement de la Borne Basse des Certificats Bonus Cappés.
  • Risque lié à l’effet de levier : En raison de leur effet de levier à la hausse comme à la baisse, ce qui peut être favorable ou défavorable à l’investisseur, les produits CitiFirst peuvent connaître de grandes variations, voire perdre tout ou partie de leur valeur.
  • Risque de marché : Les produits CitiFirst peuvent connaître à tout moment d’importantes fluctuations de cours, pouvant aboutir à la perte totale ou partielle du montant investi.
  • Risque de crédit : L’insolvabilité de l’émetteur peut entraîner la perte totale ou partielle du montant investi.
  • Risque de désactivation : La désactivation engendre un risque de perte totale et définitive du capital investi. Sur les Turbos Infinis et Infinis BEST l’ajustement du prix d'exercice et de la barrière désactivante accroit le risque de perte partielle ou totale en capital.
  • Risque de liquidité : L’absence totale ou partielle de liquidité peut entrainer une perte totale ou partielle en capital.
  • Risque lié au sous-jacent : Lors de la reconduction du contrat Future Brent, l’ajustement de la barrière de désactivation s’accompagne d’un changement de sous-jacent vers le contrat d’échéance suivante. Les Turbos sur actions US, devises et matières premières ont des horaires/jours de désactivation spécifiques figurant sur le site fr.citifirst.com. Sur une période de plusieurs jours, la performance de l'indice à levier des Leverage & Short peut être inférieure à la performance des composants de l’indice multipliée par le levier, ce qui peut ne pas être adapté à un investissement à long terme.

Les investisseurs sont invités à prendre connaissance des facteurs de risques énoncés dans les prospectus de base, disponibles gratuitement sur la page fr.citifirst.com/FR/Documentation-legale/Base-prospectus et dans les conditions définitives (« Final Terms ») disponibles gratuitement sur le site fr.citifirst.com dans la rubrique « Documents » de chaque fiche produit, afin d’établir si le produit correspond à leurs besoins et à leurs moyens. Le Prospectus de Base Warrants et le Prospectus de Base Certificats de Citigroup Global Markets Europe AG ont été visés par la BaFin (régulateur financier allemand) le 16 novembre 2022 et ont fait l'objet d'un certificat d'approbation par la BaFin à destination de l'AMF, ce qui ne doit pas être considéré comme un avis favorable.

Document communiqué à l’AMF conformément à l’article 212-28 de son Règlement Général.


C’est la partie “Soyons des adultes”. Avertissements sur les risques.

Les partenaires cités sont des collaborations commerciales.

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